Mercredi 27 mars, le Parlement européen a entériné, la fin du plastique à usage unique. D’après France Info, cette révolution aura lieu, seulement si des alternatives sont trouvées d’ici 2021 date butoir de la décision. Réaction dans les rues toulousaines.

Thomas, étudiant, plastique usage unique. Crédit Jade Babaudou

Thomas, 27 ans, étudiant

« C’est une bonne décision, elle devrait être prise depuis longtemps. D’ailleurs, si d’ici 2021, le plastique unique n’est pas interdit, c’est une honte…Cependant, le «si» change tout et rien de concret n’est réalisé pour le moment. Les solutions existent alors le plastique à usage unique doit être interdit. »

 

Dominique, responsable de magasin, plastique usage unique. Crédit Jade Babaudou

Dominique, 62 ans, responsable de magasin

« La décision est nécessaire, les alternatives existent. Il faut agir, 12,7 millions de tonnes de plastique se retrouvent chaque année dans les océans. C’est nos enfants et nos petits enfants les premiers impactés. Malheureusement je suppose que le lobby du plastique existe et pèse lourd sur les décisions. »

 

Florent, gendarme, plastique usage unique. Crédit Jade Babaudou

Florent, 45 ans, gendarme

« Il existe déjà des alternatives, les pailles en bambou ou encore les gobelets en carton. Cependant elles ne sont pas suffisantes. Il faut essayer de minimiser au maximum sa consommation de plastique. Toutefois il est difficile de consommer différemment dans la société actuelle.»

 

Clémentine, étudiante, plastique à usage unique. Crédit Jade Babaudou

Clémentine, 25 ans, chargée de communication

« La question des alternatives ne se pose pas, elles existent. Le problème c’est plus l’envie du parlement européen d’effectuer ce changement. Dans la vie de tous les jours, il faut essayer de consommer différemment. Plus de local, du vrac, moins de plastique à usage unique comme les pailles ou les assiettes en plastique par exemple. »