Le coach du TFC, Pascal Dupraz, s’exprime sur le match à Strasbourg

Ce samedi 16 décembre, le Téfécé monte en Alsace affronter le Racing Club de Strasbourg. Même s’ils sont conscients des qualités de leurs adversaires, les hommes de Dupraz ont à coeur de faire un résultat.

 Samedi, 20h, à la Meinau, Les Toulousains, 16ème vont défier les Strasbourgeois, douzièmes à l’occasion de la 18ème journée de Ligue 1. En forme après deux victoires consécutives face à Caen et Bordeaux, le Toulouse FC se rend chez un RCSA invaincu depuis le 24 septembre 2017. «C’est une belle équipe notamment chez elle à la Meinau, on sait que ça va être compliqué, mais on va tenter de revenir avec les trois points », analyse Corentin Jean, attaquant droit du TFC. «Ils sont en forme en ce moment, mais on espère aller faire un gros match là-bas». Dernièrement, Strasbourg a battu Bordeaux 3-0 au Matmut Stadium et a réalisé l’exploit de faire tomber le PSG galactique de Neymar et consort. Pour Pascal Dupraz, le «Tef» joue «tous les matchs pour les gagner» même si pour le tacticien savoyard, ils n’en «gagnent pas assez». «Pour gagner le match de Strasbourg, il faut vider les têtes et bien récupérer. Strasbourg est une équipe qu’on peut contrer donc il faut très très bien défendre là-bas» dévoile le coach. Une tâche plutôt rude pour des Violets en confiance.

Les supporters espèrent que le TFC prendra un point à la Meinau

 Du côté des supporters toulousains, on a encore des réserves. À l’exemple de Philippe, 43 ans et abonné au Stadium depuis 8 ans, qui trouve le TFC en forme et «meilleur dans le contenu» bien qu’il y ait «de la réussite avec beaucoup de pénaltys obtenus». Quant au match face aux Strasbourgeois de Thierry Laurey, Philippe est un peu plus inquiet. «Ça va être un match très difficile, même s’ils ont un jour de moins de récupération que nous, ils seront quand même favoris de ce match». Ce supporter venu faire signer des maillots auprès d’Alexis Blin et Yann Bodiger pour son fils explique qu’il «se contentera d’un point» en terre alsacienne. La tâche s’annonce donc complexe pour les Occitans.