L’ambiance semble s’électriser au sein de la République en Marche (LREM), le parti présidentiel. Une centaine d’adhérents, dont des élus, ont annoncé leur intention de quitter le mouvement vendredi, à la veille du congrès du parti. Ils ont dénoncé, dans une tribune parue sur France Info mardi, le manque de démocratie et de représentativité au sein du mouvement. Contrairement à ce qu’il se fait habituellement dans les autres grands partis, seul un collège de cadres et 200 adhérents tirés au sort participent aux élections à LREM.